En Côte d’Ivoire, la plupart des petits exploitants agricoles se procurent des engrais par le biais de crédits informels, de coopératives et d’institutions de microfinance, motivés par l’espoir de voir augmenter les rendements de leurs cultures. Cependant, une mauvaise application de ces engrais conduit souvent...
Les agriculteurs kényans bénéficient d’un coup de pouce en matière d’engrais. Le Mécanisme africain de financement du développement des engrais fournira une garantie partielle de crédit commercial de 2 M$ et une subvention de 219000 $ à Apollo Agriculture Limited, une société kényane, afin de faciliter les ventes d’engrais de l’entreprise.
La Banque africaine de développement a signé un accord de prêt de 75 millions de dollars avec la société nigériane Indorama Eleme Fertilizer and Chemicals Limited afin de lui permettre d’accroître sa production d’engrais et de développer un terminal portuaire pour les exportations.
Grâce au maintien de son prix bas, l’engrais est de plus en plus utilisé par les producteurs togolais : 21 % de plus au premier semestre 2021 par rapport à la moyenne de consommation 2015/2020. Bien pour la productivité, moins bien pour l’environnement...
Plus de quatre cents acteurs clés du secteur des engrais en Afrique sont réunis du 27 février au 1er mars à Marrakech, au Maroc, à l’occasion de la dixième édition de l’« Argus Africa Fertilizer ». Principal partenaire de cette rencontre, l’OCP dévoile sa stratégie pour mieux fertiliser...
Production d’engrais, sécurisation de l’approvisionnement, distribution, formation des agriculteurs locaux : l’Office chérifien des phosphates poursuit son développement dans plusieurs pays du continent.
C’est l’agence Ecofin qui nous l’apprend : au Nigéria, l’usine de production d’engrais d’Indorama Eleme Fertilizer & Chemicals Limited (IEFCL) vient d’entrer en activité. Basée à Port Harcourt, l’infrastructure convertit du gaz en urée. L’usine devrait produire 4 000 tonnes d’engrais par jour.
Les paysans éprouvent d’énormes difficultés à accéder à la lettre d’exonération des engrais et autres intrants agricoles qui doit être signée par le ministre de Finances. D’où des découragements dans les campagnes.
L’intensification de la concurrence étrangère sur les marchés africains pourrait stimuler la croissance et sortir un demi-million de personnes de la pauvreté, selon un rapport de la Banque mondiale. Explications.
À 59 ans, le ministre de l’Agriculture et des Aménagements hydrauliques évoque son récent voyage d’études en France(1), les agropôles, la modernisation de l’agriculture burkinabé et le litige avec Monsanto.
